Dimanche 22 juillet
Bonne Nouvelle de Jésus-Christ
Alléluia, Alléluia! Heureux qui entend la voix du Seigneur et lui ouvre sa porte: il a trouvé son bonheur et sa joie.Alléluia!
Evangile de Jésus Christ selon Saint Luc (10: 38-42)
Gloire à Toi, Seigneur!
Alors qu'Il était en route avec ses disciples, Jésus entra dans un village. Une femme appelée Marthe le reçut dans sa maison. Elle avait une soeur, nommée Marie, qui, se tenait assise au pied du Seigneur, écoutait sa parole. Marthe était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit: "Seigneur, cela ne te fait rien? Ma soeur me laisse seule à faire le service. Dis-lui donc de m'aider." Le Seigneur lui répondit: "Marthe, Marthe, tu t'inquiètes et tu t'agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part: elle ne lui sera pas enlevée."
Gloire à Toi, Seigneur des Puissances, gloire à Toi ô Christ notre Roi!
Marthe a choisi la meilleure part... Laquelle? Pour comprendre, relisons ensemble et méditons quelques instants. Jésus était en route et entra dans un village. Marthe le reçut dans sa maison. Déjà, il en ressort que le Seigneur était invité par ses amis de Béthanie. Marie, assise était aux pieds du Seigneur et dévorait les paroles du Maître, au point de négliger les tâches ménagères et le service de l'Hôte, il ets vrai, hôte de choix, puisqu'en l'occurence, il s'agit de Jésus. Marthe le reprochant, Jésus, en quelque sorte la remet à sa place en lui disant: " tu t'inquiètes et tu t'agitespour bien des choses... mais une seule est nécessaire, les reste n'est que vanité, en quelque sorte..."
Quelle est donc cette chose si nécessaire? C'est tout simplement la suivante: d'être capable de stopper toute activité superflue au moins une fois pour venir à l'écoute du Fils de Dieu. Consacrer un temps, une journée, un moment pour se mettre à l'écoute du Seigneur, de Sa Parole, de Ses sacrement. Bref, Jésus n'en parle pas, encore, des Sacrements, mais, de nos jours, voilà la portée de ce que cela veut, en quelque sorte dire. De nos jours, oui, parlons-en justement, car l'on entend souvent, dans les actualités, parler du travail le dimanche... Non! L'on ne doit pas travailler le dimanche, et encore moins pendant les fêtes chômées. L'on a plus de respect pour le portefeuille et le compte en banque, que pour Celui qui a donné Sa Vie en embrassant la Croix... Est-ce normal? Est-ce que les gense "bien pensants" de cette société perverse ont perdus la tête?
Il suffit de méditer sur les message de Marie à La Salette, pour comprendre combien cela offense le Seigneur... Les larmes que notre Mère bénie a versé, cela ne fait-il donc pas réagir? L'on ne respecte plus rien, cela est outrageant et démoralisant, le le vois, dans la ville où je réside, Bordeaux en l'occurence, dans la grande rue piétonne, rue Sainte Catherine, quand il y a le moindre jour férié, il y a quasiment tous les commerçants d'ouverts... Point de repos, point de sanctification du dimanche... Quelle honte! Quand j'entends les gens, qui n'ont pas honte de parler ouvertement de cela devant les caméras des journalistes, en prétextant le manque à gagner que le dimanche apporte, mais cela me met hors de moi! Mais où va-t-on? Voilà ce que nous faisons, nous passons à côté de la chose nécessaire, l'un des principes de base: sanctifier le jour du Seigneur. Cela est très grave...
Je ne parlerai et ne mêlerai pas à ceux cités ci-dessus les métiers entourant le corps médical qui soignent la santé des gens, car, au vu de l'importance de leur rôle, les reproches ne leur sont pas dirigées ni même aux Gendrames et au Pompiers, dont leur présence n'est que tellement nécessaire dans un monde où règnent en maître violence, haine, insécurité et dangers en tous genre. Dieu soit loué, heureusement que nous avons ces héros, si rejetés et incompris par trop de gens...
Donc, pour revenir, nous l'avons donc bien compris cette chose nécessaire est de savoir se mettre à l'écoute du Seigneur, et pour se faire de savoir renoncer à ses occupations. Donc, prions pour ceux qui ne le comprennent pas, et si toi qui me lis, tu viens de le comprendre, de le réaliser, prend la résolution, dès à présente de savoir te mettre à l'écoute de Ton Maître, qui ne l'oublie pas, se tient à la porte de ton coeur, et, y frappant, désire y entrer et y établir sa demeure. Demande pardon au Seigneur de ne pas avoir pris conscience du devoir de sanctification de son jour, confesse-t-en, et comme Jésus dit dans l'Evangile: ": va, ne pêche plus, ta Foi t'a sauvé..."
Amen, Alléluia!